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Daniel 11 : Le 'Roi du Sud', c'est l'Égypte !

Une étude minutieuse de Daniel 11 révèle avec une certitude de 100 %
que le "Roi du Sud" est, et a toujours été, l'Égypte !

Le manuscrit de Voynich est, sans aucun doute, un livre unique en son genre. Esthétiquement, c'est une œuvre d'art. De belles illustrations dans un lavis de verts, bruns, jaunes, bleus et rouges ornent presque chaque page. Les dessins botaniques sont détaillés ; les cartes astrologiques et les dessins astronomiques, méticuleux ; le texte manuscrit, fluide et gracieux. On sait qu'il a appartenu à l’empereur du Saint-Empire romain germanique Rodolphe II d'Allemagne (1576-1612), mais la datation au carbone permet de remonter jusqu'aux années 1400.

Le manuscrit de Voynich avec l'une de ses nombreuses espèces végétales non identifiées

Le manuscrit de Voynich avec l’une de ses nombreuses espèces de plantes non identifiées.

(Image: http://top-documentary.com/wp-content/uploads/2012/01/f50r.jpg)

Et pourtant, dans un monde moderne où la technologie a apporté des réponses à de nombreux mystères longtemps incompris, le manuscrit de Voynich reste une énigme non résolue. Personne ne sait d'où il vient, ni qui l'a écrit. Cent treize des dessins botaniques concernent des espèces de plantes non identifiées. Une section biologique est particulière, faisant allusion à une technologie inconnue, car elle montre des corps humains immergés dans une sorte de liquide circulant dans un système complexe de tubes interconnectés.

Le plus mystérieux de tout est peut-être le fait que personne ne sait ce que dit le livre ! Il est écrit dans une langue inconnue. Aucun effort, aucun durée de temps, aucun logiciel n'ont réussi à déchiffrer le code secret élaboré dans lequel il est écrit, ce qui en amène certains à se demander s'il s'agirait d'un canular élaboré. Aucune ‘pierre de Rosette’ n'a jamais été découverte qui pourrait fournir la clé pour déverrouiller les secrets du manuscrit de Voynich.

L’Écriture comporte également un passage indéchiffrable. Parmi les nombreuses prophéties consignées pour la dernière génération, Daniel 11 a été couramment mal compris. Ce que ce chapitre a de rare parmi les prophéties, c’est qu’il n'utilise pas de symboles. Il ne devrait y avoir aucun doute quant à l'objet de cette prophétie et au moment où elle se réalise, car la conséquence - identifier le moment de la fin de la période de probation - est trop importante. En écartant tout langage symbolique, l'ange va droit au but et retrace plus de 2000 ans d'histoire.

Les étudiants de la Bible ont longtemps été consternés et frustrés en cherchant la signification de ce chapitre, malgré son manque de symboles. Les références à un "Roi du Nord" déroutant et à un "Roi du Sud" tout aussi déroutant ont donné lieu à diverses explications suggérant qui ils pouvaient être. L'identification de ces rois est la clé qui permettra de dégager le sens de ce chapitre.

Contrairement au manuscrit de Voynich, cependant, Daniel 11 a une clé, et cette clé est la géographie.

La géographie est la clé

Daniel a toujours été, dans son cœur et for intérieur, un Israélite. Les Écritures rapportent qu'il ouvrait sa fenêtre et priait vers Jérusalem trois fois par jour. En tant que très vieil homme, des décennies après avoir été enlevé de sa patrie, il l'appelait encore "la terre glorieuse" (KJV) ou "le plus beau des pays" (LSG).

Le "Roi du Nord" et le "Roi du Sud", auxquels il est fait référence à plusieurs reprises dans Daniel 11, doivent être compris en relation avec la terre d'Israël.

Qui ou qu'est-ce qui est au sud d'Israël ? La réponse est facile et n’a jamais changé. L'Égypte est au sud d'Israël.

Qui ou qu’est-ce qui est au nord d'Israël ? La terre située directement au nord d'Israël était la Syrie. Cependant, ce qui est source de confusion pour beaucoup de gens, c'est que le pouvoir politique contrôlant cette zone géographique a changé au fil du temps. Par conséquent, le roi du Nord toute entité politique qui contrôlait la Syrie à un moment donné. Une fois que cela est compris, Daniel 11 peut être comparé à l'histoire et la prophétie devient claire.

Alexandre le Grand

La prophétie, c’est simplement l'histoire, écrite à l'avance. Dans la prophétie de Daniel 11, l'ange entre directement dans le vif du sujet : "Maintenant, je vais te faire connaître la vérité. Voici, il y aura encore trois rois en Perse. Le quatrième amassera plus de richesses que tous les autres; et quand il sera puissant par ses richesses, il soulèvera tout contre le royaume de Javan [Grèce, KJV]. Mais il s'élèvera un vaillant roi, qui dominera avec une grande puissance, et fera ce qu'il voudra." (Daniel 11:2-3, LSG)

Du temps de Daniel, quatre autres rois devaient diriger l'Empire perse, le dernier étant le plus riche de tous. Il serait célèbre pour avoir attisé les troubles avec la Grèce. L'histoire confirme que le quatrième roi persan depuis la prophétie était Xerxès Ier, le fils de Darius Ier. C'était un monarque extrêmement riche et il a utilisé cette richesse pour lutter contre les Grecs. Bien qu'il ait remporté une victoire à la bataille des Thermopyles, il a été vaincu à la bataille de Salamine. En fin de compte, tout ce que Xerxès a réussi à faire, c'est de "tout soulever contre le royaume de Grèce", conformément à la parole sûre de la prophétie.

Le verset suivant désigne Alexandre le Grand, et pose les bases de l'identification du roi du Nord et du roi du Sud : "Et lorsqu'il se sera élevé, son royaume se brisera et sera divisé vers les quatre vents des cieux; il n'appartiendra pas à ses descendants, Et il ne sera pas aussi puissant qu'il était, car il sera déchiré, et il passera à d'autres qu'à eux." (Daniel 11:4, LSG)

Alexandre le Grand n'avait que 32 ans lorsqu'il est mort. Bien que sa femme soit alors enceinte, il n'avait pas d'autres héritiers vivants. Son vaste empire a été divisé entre ses quatre généraux. Ceux-ci, à leur tour, se sont battus entre eux pour gagner plus de territoire et de pouvoir.

Voici une liste succinte des généraux et des territoires qu'ils ont pris :

L'empire divisé d'Alexandre le Grand entre ses qautre génréaux : Lysimaque, Cassandre, Séleucos Ier et Ptolémée Ier

Le vaste empire d'Alexandre le Grand a été divisé entre ses quatre généraux après sa mort.

Pendant un certain temps, une partie de l'empire d'Alexandre a été contrôlée par Antigone le Borgne, un régent qui a essayé de réunifier l'empire. Cette région, cependant, a finalement été perdue au profit des quatre généraux. La division de l'empire en quatre parties a été suivie par diverses guerres et batailles au cours des 20 années suivantes. La plupart de ces querelles se sont déroulées entre les trois généraux du nord, est et ouest d'Israël : Lysimaque, Cassandre et Séleucos. Lysimaque a conquis le territoire de Cassandre, mais Séleucos a ensuite annexé tout ce qui était à Lysimaque. En fin de compte, il n’est resté, des quatre divisions d'origine, que Séleucos au nord et Ptolémée au sud.

 

Ptolémée Ier

Ptolémée s'est avéré être le plus habile des quatre généraux d'Alexandre. "Ptolémée, qui s'était distingué comme étant un commandant de troupe prudent et digne de confiance sous Alexandre, s'est également révélé être un homme politique d'une habileté diplomatique et stratégique inhabituelle dans la longue série de luttes pour le trône qui ont éclaté après la mort d'Alexandre en 323." 2 En fait, c'est Ptolémée qui a reconnu l'impossibilité de maintenir l'unité de l'empire d'Alexandre. C'est à sa suggestion que l'empire a été divisé entre les quatre généraux.

Ptolémée a pu évaluer en termes politiques réalistes la situation internationale chaotique de cette époque post-Alexandre, qui se caractérisait par des guerres sans cesse renouvelées avec des alliances et des coalitions changeantes. Adhérant à une politique étrangère fondamentalement défensive, il sécurisa l'Égypte contre les ennemis extérieurs et l'étendit au moyen de possessions étrangères directement contrôlées et d'administrations hégémoniques. Il n'a cependant pas négligé de prêter attention à l'organisation interne du pays et de prévoir un successeur. 3

Malgré le fait que Ptolémée ait été l'un des généraux sous Alexandre qui avait conquis l'Égypte, sa direction avisée le fit accepter par les Égyptiens qui l'élevèrent au statut de dieu après sa mort. L'Égypte devint le puissant roi du Sud sous cet ancien général.

La puissante dynastie ptolémaïque qu'il a établie "a régné plus longtemps que toute autre dynastie établie sur le sol de l'empire alexandrin et n'a succombé aux Romains qu'en 30 avant J.-C." 4 Même après que l'Égypte soit passée sous le contrôle de Rome, cette région est restée le roi du Sud parce qu'elle se trouvait, et se trouve toujours, au sud de la Palestine.

Se heurter contre le Roi Obstiné

Le Sphynx, en Égypte, sous un ciel nocturne étoilé, avec la voie lactée au dessus de la têteIl n'y a pas le moindre doute que l'Égypte est le Roi du Sud. La première partie de Daniel 11 est un récit clair et direct des événements historiques, annoncés avant qu'ils ne se produisent. Ils retracent avec une précision surnaturelle les actions du Roi du Sud, l'Égypte, à travers les siècles. Chaque verset est prouvé par la documentation historique. Cette prophétie vise à déterminer avec précision la date de la fin de la période de probation. Les versets intermédiaires permettent à l'étudiant moderne de la Bible de savoir avec certitude que le Roi du Sud est l'Égypte, comme le prouve l'histoire.

Le point culminant des actions du Roi du Sud se produit vers la fin de Daniel 11 et c'est, en fait, la dernière fois que le Roi du Sud est mentionné : "Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui [le poussera, KJV]." (Daniel 11:40, LSG)

Au cours des siècles, divers dirigeants extérieurs, comme cela s’est passé dans les autres régions de l'empire d'Alexandre, ont conquis l'Égypte. La dynastie mamelouke en a pris le contrôle en 1250. Les Mamelouks étaient des soldats esclaves, devenus très puissants au cours du Moyen Âge. Ils ont chassé du Moyen-Orient les derniers croisés européens, et chassé les Mongols de Syrie et de Palestine. Cela leur a valu la gratitude de tous les musulmans qui voyaient les Mamelouks comme les sauveurs de leur religion et de leur culture.

Pour consolider leur position dans le monde islamique, les Mamelouks ont fait revivre le califat, que les Mongols avaient détruit en 1258, et ont installé un calife sous leur surveillance au Caire. Leur patronage des souverains des villes saintes d'Arabie, de La Mecque et de Médine, a servi le même objectif. Le succès spectaculaire à la guerre et en diplomatie était soutenu économiquement par le soutien des Mamelouks aux industries et à l'artisanat ainsi que par leur restauration de l'Égypte en tant que principale route commerciale et de transit entre l'Orient et la Méditerranée. 5

L'Empire ottoman a pris le contrôle de l'Égypte au début des années 1500. Dans les années 1790, les Mamelouks ont repris une grande partie de leur pouvoir, même si l'Égypte était encore considérée, techniquement, comme faisant partie de l'Empire ottoman. Bien que les Mamelouks aient été à l'origine responsables de l'établissement de la principale route commerciale qui reliait l'Orient à l'Europe, les dernières années de la domination mamelouke ont été marquées par des combats internes qui ont perturbé la route commerciale.

"Les dernières années de la domination mamelouke ont été désastreuses pour l'Égypte. Les luttes intestines constantes, combinées aux taxes scandaleuses, ont ruiné le commerce égyptien. L'un des éléments déclencheurs de l'invasion française fut la quasi-destruction du commerce français avec l'Égypte dans les années 1790." 6

Comme démontré dans un autre article, la France était le "Roi Obstiné" décrit dans Daniel 11:36-40. L'interruption du commerce égyptien avec la France représentait l’accomplissement du Roi du Sud (l'Égypte) "poussant" ou "se heurant contre" le Roi Obstiné (la France). Ce n'était pas une déclaration de guerre ouverte. C’était simplement "pousser" la France.

En 1798, la France a envahi l'Égypte - l'année même où a commencé le "temps de la fin" !

Le plan français initial était sans aucun doute de s'emparer de l'Égypte en tant que colonie. Les Français s'attendaient à ce que la population égyptienne, qui souffrait sous les Mamelouks, les accueille comme des libérateurs, tandis que les Ottomans toléreraient au moins les Français comme le prix à payer pour expulser leurs sujets trop indépendants. L'Égypte allait bénéficier des développements rendus possibles par la révolution, son gouvernement serait modernisé, de nouvelles institutions créées et d'anciennes mises de côté, tout comme cela s'était produit en France.

Le rôle des Ottomans a toujours été épineux. La France avait été traditionnellement alliée à l'Empire ottoman et, pour l'instant du moins, il n'était pas question de perturber cela. Le plan français reposait largement sur le fait [supposé] que les Ottomans resteraient au moins neutres, en comptant sur leur hostilité envers les Mamelouks (démontrée en 1786) qui devait l'emporter sur leur colère face à l'invasion française de ce qui était encore officiellement une province ottomane. 7

Mais le plan a terriblement mal tourné.

Comme un tourbillon

Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires; il s'avancera dans les terres, Se répandra comme un torrent et débordera. (Daniel 11:40)

La bataille du Nil, tableau de Thomas Whitcombe (The Battle of the Nile)

La présence britannique en Égypte après l'invasion de la France a entraîné un réalignement des alliances internationales, qui a influencé l'écrasante réaction du roi du Nord et a conduit, en fin de compte, à la perte de millions de vies.

(Image: http://www.woodenwalls.co.uk/NileBattle.jpg)

Les Britanniques, dans leurs efforts continus pour réduire les ambitions françaises, ont pourchassé les Français à travers la Méditerranée. Le 1er août 1798, l'amiral britannique Horatio Nelson a trouvé la flotte française amarrée à Alexandrie, en Égypte. "La bataille du Nil a été l'une des victoires navales les plus écrasantes jamais vues. Aucun navire britannique n'a été perdu, alors que seuls deux des treize navires de la ligne française se sont échappés. Napoléon était alors coupé de la France." 8

Toute véritable chance que l'Empire ottoman accepte la conquête française s'est évanouie après que Nelson ait détruit la flotte française lors de la bataille du Nil (1er août). La diplomatie britannique à Istanbul était désormais en mesure d'orienter l'Empire vers une opposition pure et simple, et, le 9 septembre 1798, l'Empire ottoman a déclaré la guerre à la France (en début d’année 1799, la Russie s’est jointe à la Grande-Bretagne et à la Turquie pour former la deuxième coalition). Napoléon devait maintenant faire face au danger réel d'une invasion par terre et par mer. Deux armées ottomanes devaient participer à l'invasion. L'armée de Damas devait avancer à travers la Syrie et la Palestine et attaquer l'Égypte à travers le Sinaï. Une autre armée, formée sur Rhodes, devait, sous la protection de la Royal Navy, débarquer près du Nil. Les Français seraient encerclés et en infériorité numérique. 9

La réponse ottomane a complètement anéanti les plans français et les hypothèses de conquête facile. Suite à l'invasion de l'Égypte par le Roi Obstiné, de nouvelles et différentes alliances furent formées. "L'expédition française a fini par entraîner [le sultan ottoman] Sélim dans des alliances avec la Grande-Bretagne et la Russie, par lesquelles les Français furent repoussés." 10 Dans ce nouvel environnement politique, la Russie et la Perse ont commencé à annexer des terres appartenant traditionnellement à l'Empire ottoman. Cette situation, à son tour, a engendré un ressentiment extrême parmi les Turcs ottomans et a été en grande partie responsable des horribles génocides perpétrés par les Turcs contre les Chrétiens arméniens, grecs et assyriens pendant et après la Première Guerre mondiale.

Il n’y a plus de temps

La fin de la période probatoire est l'événement le plus solennel depuis le Calvaire. À ce moment-là, chacun aura pris sa décision, pour la vie éternelle, ou la honte et la mort éternelle.

La fin de la période probatoire est l'événement le plus solennel depuis le Calvaire. À ce moment-là, chacun aura pris sa décision, pour la vie éternelle, ou la honte et la mort éternelle. Dans les derniers mots des Écritures, on trouve une description de cet événement, avec l'avertissement solennel selon lequel il précède de très près la Seconde Venue de Yahushua :

Ne scellez pas les paroles de la prophétie de ce livre : car le temps est proche.

Ne scelle point les paroles de la prophétie de ce livre. Car le temps est proche.

Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore.

Voici, Je viens bientôt, et Ma rétribution est avec Moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre. (Apocalypse 22:10-12, LSG)

Il ne peut y avoir aucun retard dans la préparation. La période de probation se terminera très bientôt, mais elle se terminera d'abord pour ceux qui ont reçu le plus de lumière. Si vous souhaitez avoir la joie de porter le dernier grand cri au monde, sondez votre cœur dans la prière. Vous accrochez-vous encore à des péchés connus ? Avez-vous déjà rejeté une lumière avancée, quelle qu’elle soit, qui est la dernière pluie prophétisée, gracieusement donnée pour vous préparer à la fin de la période de probation ?

Préparez-vous, préparez-vous, préparez-vous. Il vous faut une plus grande préparation que celle que vous avez maintenant, car le jour de Yahuwah vient, cruel jour de colère et de fureur, pour dévaster la terre et effacer les pécheurs. Sacrifiez tout à Yahuwah. 11 Déposez tout sur Son autel, vos propriétés, et tout, comme un sacrifice vivant. Il faudra tout laisser pour entrer dans la gloire. Constituez-vous un trésor dans le ciel, où aucun voleur ne peut s'approcher, ni la rouille corrompre. Vous devez participer aux souffrances de Yahushua, ici, si vous voulez participer avec Lui à Sa gloire, après. 12

L'œuvre du salut n'est pas un jeu d'enfant, à saisir à volonté, et encore moins à plaisir. C'est l'objectif constant, l'effort inlassable, qui permettra de remporter enfin la victoire. C'est celui qui persévèrera jusqu'à la fin qui sera sauvé. Ce sont ceux qui continuent patiemment à bien faire qui auront la vie éternelle et la récompense immortelle. 13

C'est maintenant, le jour du salut. Prenez la décision consciente de suivre la vérité où qu'elle vous mène. Abandonnez-vous pleinement au Sauveur, et Il vous préparera.
 


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1 https://www.britannica.com/biography/Lysimachus

2 https://www.britannica.com/biography/Ptolemy-I-Soter

3 Ibid.

4 Ibid.

5 https://www.britannica.com/topic/Mamluk, nous soulignons.

6 http://www.historyofwar.org/articles/wars_french_egypt.html

7 Ibid.

8 Ibid.

9 Ibid.

10 https://www.britannica.com/place/Ottoman-Empire/The-decline-of-the-Ottoman-Empire-1566-1807#ref482150

11 Les noms sacrés ont été utilisés dans cette citation à la place des titres païens.

12 E. G. White, The Faith I Live By, p. 359.

13 E. G. White, Our Father Cares, p. 88.